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Poupées aux yeux morts


 » A lire de la SF, on finissait par acquérir un mode de pensée particulier, qui se caractérisait par une ouverture sur un certain nombre de questions relativement abstraites. La SF était avant tout un jeu de l’esprit, qui offrait des perspectives proches de l’infini. »
Poupée aux yeux morts, Roland C. Wagner


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